Alors qu’elles les croyaient partis pour i chaque fois, Nicole, Christelle, Laurence, ainsi, Violette ont eu l’impression de receptionner un message de leur defunt. Temoignages et explications de la psychologue Patricia Serin sur les VSCD, ces « vecus subjectifs de contact avec votre defunt ».
« Mon frere se manifestait par le vent »
Nicole, 68 ans
« J’ai recu des premiers indices plusieurs mois apres la fond de mon frere Claude. Un jour, alors que j’etais dans le salon, un de mes interface muddy matches volets electriques s’est ferme alors que je n’avais rien actionne. J’ai d’abord cru que c’etait mon mari. Mais apres l’avoir interroge, il m’a confirme qu’il n’avait touche a que dalle. Aussitot, j’ai pense : « Tiens ! Claude m’envoie 1 signe. » C’etait tel une evidence. Je n’avais pourtant jamais vecu de phenomene paranormal auparavant. Apres une telle « visite », j’ai ressenti un calme profond. J’avais meme le sourire. Un mois apres, alors que j’etais dans le jardin, j’ai entendu un bruit violent derriere moi, comme votre souffle tres fort. Pourtant, votre jour-la, il n’y avait pas de vent et surtout, il y avait 1 mur derriere moi qui ne pouvait que dalle laisser passer. J’ai encore pense que c’etait notre frere. Quelques jours prochainement, le meme phenomene s’est service dans ma voiture.
Apres avoir parle avec une tante et ma niece, j’ai compris que j’etais la seule a recevoir la visite du frere. J’avais l’impression que quelque chose preoccupait Claude. Lui et moi n’avions jamais regle verbalement 1 differend entre nous avant sa propre mort. C’est peut-etre ce motif qui l’amenait vers moi. Une amie m’a mise en relation avec une « passeuse d’ame » qui aide les morts a partir. Elle reste venue i la maison, a travaille 2 heures, ainsi, m’a assure qu’il est parti. Depuis, je n’ai plus recu de visite de Claude. J’habite soulagee de le savoir en paix et heureuse d’avoir recu ses visites. »
« Des visites nocturnes de ma tante »
Christelle, 32 ans
« quelques temps apres le deces ma mere, alors que je me trouvais entre deux sommeils mais pas encore endormie, j’ai ressenti une sensation vraiment particuliere. J’avais l’impression que quelqu’un me serrait tellement tri?s que je ne pouvais plus bouger.
Ma mere disait forcement a le compagnon que, quand elle ne pourrait i?tre plus la, elle viendrait lui tirer les pieds dans le sommeil. Deux ou trois temps prochainement, celui-ci nous a raconte qu’a le coucher, il avait encourage ma mere a se manifester. Or, i l’instant ou il s’assoupissait, il a senti quelqu’un lui saisir les pieds et a eu l’impression de tomber dans le vide. Inspiree, quelques jours apres alors que je dormais i domicile, je l’ai encouragee a me faire un signe. Et, j’ai vecu la meme experience que lui. Je somnolais et tout a coup, j’ai eu l’impression d’etre tiree et de tomber au vide. C’etait vraiment impressionnant et ca m’a fait tres peur. Je lui ai demande de ne plus revenir. »
« Une lettre d’amour de mon mari »
Laurence, 53 annees
« En avril soir, je suis rendue a J’ai dedicace d’un livre sur la « canalisation ». L’autrice, une medium, recoit et apporte les messages de l’au-dela qui s’expriment alors a travers elle. Si mon tour est venu, l’autrice m’a ecrit une lettre d’amour enflammee et signee « ton mari, Daniel ». Elle m’a recommande d’attendre d’etre rentree pour la lire. Elle et moi ne nous connaissions gui?re. A travers sa plume, c’etait mon mari, decede Il existe quatre ans, qui m’ecrivait. Les details personnels une lettre ne laissaient aucun doute. C’etait d’autant plus troublant que nous etions Au moment anniversaire de une retrouve. Cette declaration ne m’a jamais rejouie. J’habite la femme d’un seul homme et le savoir bien si proche de moi, alors que j’envisageais de me reconstruire, ne me convenait pas. J’avais deja ressenti de la peine a me lancer dans une nouvelle relation, comme si Mathieu m’en empechait. J’avais fini par rompre. Alors, le lendemain, j’ai ecrit a Daniel concernant le remercier de ce message d’amour et lui demander de me laisser refaire ma vie. J’avais l’envie qu’il me libere. Et il m’a entendu. »
