Journaliste responsable d’la rubrique LIFE, Le HuffPost
SCIENCE – Notre science reste rassurante. Elle nous apporte des reponses sur le fonctionnement de cela nous entoure, y compris dans nous-memes. C’est et cela a seduit les celibataires qui participent a l’emission de M6 “Maries au premier regard” diffusee votre lundi 7 novembre. Tous ont ete selectionnes apres avoir repondu a une annonce leur promettant de denicher l’amour grace a la science.
Les trois experts de M6, une sexologue, un psychologue et un sociologue ont fera passer une batterie de tests a toutes les candidats: tests olfactif et auditif, mesures du taux de masculinite et de feminite, mesures physiques et tests psycho sexuel. En croisant les informations des candidats, ils ont pu consulter des concordances entre plusieurs candidats. Sur le papier, ces couples formes avec “la science” ont tout Afin de s’entendre et tomber amoureux.
Certes, les scientifiques ont fait de gigantesques progres dans l’apprehension de ce que celui-ci se marche dans notre corps quand nous tombons amoureux notamment. Mais Afin de cela est d’une naissance du sentiment amoureux, la science se montre souvent plutot prudente. Comment et pourquoi la plupart individus tombent amoureuses? Comment trouver a coup entendu l’amour? Ce n’est gui?re faute d’avoir essaye de trouver une reponse mais Il semble complexe d’etablir une regle se deplai§ant a coup sur.
L’amour c’est comme une transaction economique
L’amour reste fait d’algorithmes. L’integralite des sites de rencontres en utilisent, c’est grace a eux que leurs utilisateurs paraissent foutu en relation et que quantite de couples se paraissent formes. En 2015, deux chercheurs de l’institut de recherches socio-economiques du Luxembourg (LISER) ont achete votre nouveau modele pour construire l’algorithme de l’amour. Ceux-ci se sont ainsi appuyes i propos des regles qui regissent l’attractivite economique Afin de les appliquer a J’ai recherche de l’amour. Se mettre en couple reste comparable a une transaction regit par des lois d’un marche.
“la majorite d’entre nous procede a une evaluation basee concernant une liste de controle mentale des qualites que nous recherchons chez 1 epoux ou une epouse. Autrement dit, nous effectuons une transaction economique car nous recherchons le meilleur accord Afin de nous-memes en faisant concorder nos attributs avec ceux d’une nouvelle personne”, explique ainsi l’un des chercheurs sur le website du LISER.
Comme l’explique le site Sciences et Avenir, le but de votre algorithme est de parvenir a mesurer une “utilite commune” d’la relation, soit “une mesure du bien-etre d’une relation et de la preference mutuelle” http://besthookupwebsites.org/fr/be2-review/. Les chercheurs font donc intervenir dix facteurs tels que l’IMC, le niveau d’etude ou bien l’etat de sante. Cette etude en est encore au stade de la recherche. Mais nombreux ont ete les scientifiques a vouloir tomber sur l’algorithme de l’amour.
Mes mathematiques de l’amour
Hannah Fry reste une mathematicienne anglaise. Dans une passionnante conference TED de fevrier 2015, elle expose trois formules mathematiques appliquees a l’amour: comment avoir du succes concernant un blog de rencontres, comment trouver Notre belle personne et De quelle fai§on ne point divorcer.
Car, oui, tout i§a a ete theorise par des mathematiciens avant elle. C’est ainsi l’eventualite des fondateurs de OkCupid, qui apres avoir analyse les precisions des utilisateurs ont decouvert que celui-ci valait plus ne pas etre trop beau pour avoir du succes via un site. Une autre recherche a permis de decouvrir qu’il valait mieux exclure les pretendants pendant nos 37 premiers pour cent de notre vie sentimentale et prendre le premier qui se presentait juste apres.
Mais tout l’interet de ce que votre scientifique montre est en mesure de etre ainsi resume: si ces systemes ont la possibilite de se verifier, ils ne peuvent pas etre des lignes de conduite. Hannah Fry previent: “L’emotion humaine n’est ni ordonnee, ni rationnelle, ni previsible”.
Ouf! notre vie nous reserve donc des surprises, bonnes comme mauvaises, que la science ne pourra prevenir.